Hybrider aujourd'hui, c'est possible !
En 2020, début avril, je me lançais dans l’entrepreneuriat avec mon associé Martin Smeeckaert.
Avril 2020, eh ouais ! Nous sommes en plein milieu du premier confinement, LA période idéale pour lancer SMITH and JOSETTE 😱 .
C’est ce qu’on appelle "avoir de l’intuition" 😅.
Je ne me souviens pas très bien si, à cette époque, ce contexte sanitaire anxiogène me faisait douter de l’avenir de la société spécialisée dans les solutions événementielles que nous venions de créer.
J’ai oublié ! Sûrement que se planter à deux n’était pas si grave.
À deux, on est aussi plus agiles, et même si rien n’est simple, ce n’était pas trop compliqué de revoir notre feuille de route… pour commencer par la fin.
C’est comme ça, avec le soutien de nos futurs — et désormais actuels — clients, que nous avons commencé à travailler sur la plateforme distancielle que nous rêvions de consulter.
Défi relevé ! Les trois événements que nous avons accompagnés à l’époque dans leur digitalisation sont toujours là aujourd’hui, en version hybride.
Petite fierté, j’avoue !
Ce qui, à l’époque, n’était qu’une solution temporaire est devenu un prérequis, un indispensable, permettant à une part non négligeable de l’audience de participer à des événements — faute de temps, de moyens financiers ou d’accessibilité.
Mieux encore : ces trois événements hybridés n’ont rien perdu de leur audience présentielle, bien au contraire — elle ne cesse d’augmenter.
Nous n’avons jamais cherché à opposer distanciel, hybridation et présentiel.
Ce sont des solutions complémentaires, pensées pour répondre à des problématiques bien précises, bien ciblées.
Jusqu'à aujourd'hui, plus de 80 % des arguments qu’on nous a opposés pour écarter l’hybridation masquaient à peine la crainte de voir revenir la période Covid — et, avec elle, la perte de contrôle de l’événement par les agences au profit… des informaticiens 🤣.
Il y a certes beaucoup de bonnes raisons de ne pas hybrider un événement — mais il y en a tout autant de le faire.
